Je suis la forêt que tu pénètres
Je suis la forêt que tu pénètres, pour se confondre l’un dans l’autre… Puis reconnaitre sur les rondins des « vulves d’arbres » prélevées en forêt mais aussi des branches et des cornes aux formes légèrement phalliques. Cependant, ces concrétions ne sont ni féminines, ni masculines, ni minéral, ni végétal. Elles ne sont que des traversées, des interpénétrations de différentes matières de grès, de bois, de corne pour finalement devenir quelque chose de précieux et nous apparaître à travers du bronze.